maria1961
Nicolae Grigorescu - peintre roumain.
Le 21/07/2010
Nicolae Grigorescu (15 mai 1838 – 21 juillet 1907) est considéré comme le plus grand peintre roumain.
En 1861, il obtient une bourse qui lui permet d'étudier à l'école des Beaux-arts de Paris où, dans l'atelier de Jean-Jean Cornu, il a Renoir pour condisciple. Il en profite pour aller copier au Louvre les toiles des grands maîtres. À l'auberge du père Ganne, près de Fontainebleau, il rencontre les maîtres de l'École de Barbizon comme Millet, Daubigny ou Corot et s'initie à la peinture de plein air dans les forêts voisines. Il part ensuite peindre à Barbizon. À leur contact, il allège sa palette et opte pour une touche à la fois abrégée et synthétique, par larges coups de brosse visibles tout en affirmant déjà sa prédilection pour des thèmes et un rendu réalistes, à la fois construit et spontané. La rencontre de Georges de Bellio, mécène des impressionnistes, l'initie aux styles de Monet, Renoir ou Sisley. Sa palette gagne encore en luminosité, mais il conserve son goût pour la paysannerie et un réalisme direct.
En 1873-1874, il voyage en Italie (Rome, Naples, Pompéi), en Grèce, en Turquie, à Vienne, en Moldavie où il peint les paysans, son thème favori.
Pendant la guerre d'indépendance de 1877, il devient « peintre de guerre » en Roumanie et réalise le Cycle de la campagne en plus des dessins et croquis de scènes de combat.
De 1879 à 1890, il travail surtout à Paris et va peindre à Vitré en Bretagne.
De retour en Roumanie (à Câmpina), il expose plusieurs fois à l'Athénée Roumaine entre 1891 et 1904. En 1899, il est nommé membre honoraire de l'Académie roumaine. Pendant cette dernière période, il se consacre surtout au portrait et peint des visages remarquablement expressifs et baignés de lumière sur un fond sombre.
En 1861, il obtient une bourse qui lui permet d'étudier à l'école des Beaux-arts de Paris où, dans l'atelier de Jean-Jean Cornu, il a Renoir pour condisciple. Il en profite pour aller copier au Louvre les toiles des grands maîtres. À l'auberge du père Ganne, près de Fontainebleau, il rencontre les maîtres de l'École de Barbizon comme Millet, Daubigny ou Corot et s'initie à la peinture de plein air dans les forêts voisines. Il part ensuite peindre à Barbizon. À leur contact, il allège sa palette et opte pour une touche à la fois abrégée et synthétique, par larges coups de brosse visibles tout en affirmant déjà sa prédilection pour des thèmes et un rendu réalistes, à la fois construit et spontané. La rencontre de Georges de Bellio, mécène des impressionnistes, l'initie aux styles de Monet, Renoir ou Sisley. Sa palette gagne encore en luminosité, mais il conserve son goût pour la paysannerie et un réalisme direct.
En 1873-1874, il voyage en Italie (Rome, Naples, Pompéi), en Grèce, en Turquie, à Vienne, en Moldavie où il peint les paysans, son thème favori.
Pendant la guerre d'indépendance de 1877, il devient « peintre de guerre » en Roumanie et réalise le Cycle de la campagne en plus des dessins et croquis de scènes de combat.
De 1879 à 1890, il travail surtout à Paris et va peindre à Vitré en Bretagne.
De retour en Roumanie (à Câmpina), il expose plusieurs fois à l'Athénée Roumaine entre 1891 et 1904. En 1899, il est nommé membre honoraire de l'Académie roumaine. Pendant cette dernière période, il se consacre surtout au portrait et peint des visages remarquablement expressifs et baignés de lumière sur un fond sombre.
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Bonjour MARIA, je ne sais pas où tu prends les photos, mais elles sont très belles. Bonne journée ALAIN